La psychologie positive

Il y a plusieurs sciences qui s’ occupent du sujet du bonheur: la philosophie, la sociologie, l’ économie, l’ histoire, la médecine, etc. Par contre, jusqu’ à la fin du dernier siècle, la psychologie a largement fait un détour autour de ce sujet du bonheur (à l’ exception peut-être de la psychologie dite « humaniste »). Même maintenant, dans Google Scholar, on trouvera cinq fois plus d’articles sur « depression » que sur « happiness ».

Pour cette raison, en 1998, quand Martin Seligman devint président de l’ organisation influente «American Psychological Association », il décida de lancer le terme « psychologie positive ». Cette « nouvelle » branche de la psychologie devait restaurer cette balance et promouvoir la recherche sur les émotions positives, les forces et l’ épanouissement psychologique, individuelle tandis que dans les sociétés/organisations.

Cependant, on observe une grande croissance dans la recherche en psychologie positive. La « International Positive Psychology Association » est un des réseaux scientifiques les plus rapidement croissants du monde. Il y a de plus en plus de publications et de journaux sur ce sujet, et une encyclopédie de la psychologie positive est en développement. Des universités de partout du monde ont engagé des professeurs et des rechercheurs en psychologie positive. En 2006, la « psychologie positive » était le cours le plus populaire à l’ université de Harvard.

Ce site donne un aperçu des résultats d’ un nombre de recherches en psychologie positive. On focalise sur la recherche expérimentale des interventions qui ont pour but d’ améliorer le bonheur, puisque ceci semble être ce qui intéresse la majorité des gens. Ce type de recherche donne une réponse à la question « que peux-je faire pour devenir plus heureux ? »

Plus d'information: www.evidencebasedhappiness.org